La Nouvelle-Calédonie représentée à Wellington à l'occasion de la cérémonie des lettres de créances du nouvel Ambassadeur de France en Nouvelle-Zélande

06 mars 2015

Information

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Diplômée de l’ENA en 1984, relevant de la direction générale du Trésor à Bercy, Mme Florence Jeanblanc-Risler occupait, depuis trois ans et demi et jusqu’à fin 2014, les fonctions de Ministre conseillère pour les affaires économiques et celles de chef du service économique régional de l’ambassade de France au Japon.

 

Succédant à l’Ambassadeur Laurent Contini, en poste à Wellington depuis septembre 2013, Mme Florence Jeanblanc-Risler a officiellement pris ses fonctions d’ambassadeur de France en Nouvelle-Zélande le Mardi 3 mars, au cours d'une cérémonie au Palais du gouvernement à Wellington (Photo).

 

La Nouvelle-Zélande a officialisé cette nomination et l'accréditation de Madame l'Ambassadeur, lors de la cérémonie de présentation des lettres de créance auprès du représentant de la reine Elisabeth II d’Angleterre en Nouvelle-Zélande, en la personne de Sir Jeremiah Mateparea, Gouverneur général, ancien commandant des forces armées de Nouvelle-Zélande, d’origine Māori.

 

Les lettres de créance sont un document officiel qu'un chef d'État ou de gouvernement signe et confie à un ambassadeur qu'il vient de nommer, afin que celui-ci le remette au chef d'État ou de gouvernement du pays hôte.

 

Mme l’Ambassadeur de France était accompagnée des trois principaux collaborateurs du poste diplomatique de Wellington, à savoir, dans l’ordre protocolaire, Mme Agnès Hamilton, Première Conseillère, M. Raynald Belay, Conseiller de coopération pour l’action culturelle et scientifique, COCAC, et M. Yves Lafoy, Délégué pour la Nouvelle-Calédonie en Nouvelle-Zélande.

 

En Nouvelle-Zélande, cette cérémonie présente un caractère distinctif car elle associe trois éléments complémentaires selon les us et coutumes néo-zélandais, à savoir, un défi traditionnel Māori (le wero, ancienne tradition guerrière des Māori qui consiste à appréhender si les visiteurs viennent en paix), le salut et l'inspection de la garde d'honneur militaire, et la présentation des lettres de créance à M. le Gouverneur général.